Les trous noirs dans l’espace sont-ils vraiment des trous ? Sont-ils même noirs, déjà ? Il y a débat parmi les physiciens quantiques de renommée. La légende Stephen Hawking avait déjà avancé que les trous noirs allaient s’évaporer, à (très) long terme. Dorénavant, c’est une équipe d’autres théoriciens qui soutient l’idée que les trous noirs ne sont en fait même pas des trous. Selon eux, il s’agirait de surfaces molles, d’hologrammes en 2D projetant une impression de 3D. Une théorie qui arrive après les révélations comme quoi un gigantesque « trou noir », de 600 fois la taille du Soleil, demeurait découvert. D’après les physiciens, on n’est pas prêt de comprendre le concept de trou noir car on réfléchit selon une perspective en 3D. Pour certains d’entre eux, les trous noirs n’ont pas d’intérieur et ce qui est supposé être absorbé par eux est en fait collé à la surface. « Nous sommes capables d’utiliser un modèle plus riche et plus complet par rapport à ce qui a été fait avant… et nous obtenons un résultat bien plus réaliste et consistant. Cela nous permet de résoudre pas mal d’ambiguïté autour des précédents calculs », a déclaré Daniele Pranzetti, de l’Institut Max Planck des physiciens-théoriciens en Allemagne, qui a travaillé avec son équipe sur le phénomène. Voilà de quoi alimenter l’imaginaire des amateurs de science-fiction à tiroirs. En attendant, de l’avis même des physiciens : on ne comprend rien à la physique quantique. Source : Universe Today