Quelques mois après avoir été libérée d’une mise sous tutelle qui a duré près de 14 ans, Britney Spears a indiqué sur son compte Instagram être enceinte de son troisième enfant. La chanteuse a d’ailleurs précisé qu’une des mesures de tutelle lui interdisait d’avoir des enfants, révélait le New York Times le 11 avril.

La résurrection de l’icône Britney Spears se poursuit. En novembre 2021, la star de 40 ans avait retrouvé son indépendance, avec la fin d’une mise sous tutelle gérée par son père ayant duré presque 14 ans. Quelques mois plus tard, elle vient d’annoncer sur son compte Instagram être enceinte du coach sportif et mannequin de 28 ans Sam Asghari. Si Spears et Asghari s’étaient fiancés en septembre de l’année 2021, le couple n’est pas encore marié. Leur rencontre en 2016 s’était effectivement déroulée sur fond de mesures de tutelle, qui empêchaient alors la chanteuse de se remarier. Pire encore, la star a indiqué que le programme l’interdisait d’avoir de nouveaux enfants, et lui imposait de rester sous contraception contre son gré. Britney a déjà à ce jour deux enfants, Sean et Jayden, dont elle partage la garde avec Kevin Federline, son ex-mari.

Au tribunal, la chanteuse avait déclaré l’année dernière avoir été forcée à prendre des médicaments et à agir contre sa volonté sous la tutelle de son père. « Je veux pouvoir me marier et avoir un bébé », avait-elle déclaré, contestant son injonction à rester sous contraception. « Dans le cadre de la mise sous tutelle, je ne suis pas en mesure de me marier ou d’avoir un bébé », confirmait-elle.

La décision du juge de mettre fin à ces mesures en novembre était donc une incroyable victoire pour Britney, comme pour l’ensemble des personnes touchées par ces mesures. L’affaire Spears ne s’était effectivement pas confinée à son propre cas, et le combat mené par la star a permis de lancer un mouvement de protestation contre ces programmes aux États-Unis. Elle a d’ailleurs été invitée au Congrès, afin de parler de son combat et de sensibiliser le plus grand nombre à cette cause.

Source : The New York Times