L’Anglais Chris Woodhead se fait chaque jour un nouveau tatouage depuis le début confinement, mais il commence à manquer de place. Il cherche quotidiennement des espaces vides sur sa peau pour pouvoir ajouter d’autres tatouages sur son corps déjà recouvert du bout des doigts à la plante des pieds, raconte la BBC.

Woodhead se fait régulièrement tatouer depuis qu’il a eu 18 ans, il y a de ça une quinzaine d’années. Au tout début du confinement, il avait déjà plus de 1 000 dessins sur le corps. Aujourd’hui, il en a encré lui-même 40 de plus, et le compteur tourne toujours.

Chaque après-midi, entre 14 et 16 heures, Chris s’assoit pour dessiner des croquis inspirés de son quotidien. Il met ensuite de l’encre dans un pot et déballe une aiguille, prêt à graver son croquis sur sa peau. « Je ressemble à un morceau de roquefort, il n’y a plus beaucoup d’espace où tatouer. »

Et il se tatoue des faits actuels qui le touchent de près où de loin : une molécule de coronavirus, les initiales NHS (pour National Health Services) en hommage au travail des soignants durant la crise, un tigre en hommage à… Joe Exotic, un spermatozoïde pour son futur bébé à naître…

Source : BBC