Ces derniers jours, une bataille fait rage entre Apple et le FBI pour récupérer les données conservées dans l’iPhone 5C d’un des auteurs de la tuerie de San Bernardino. Pendant ce temps, l’organisation terroriste presse ses membres d’utiliser de puissants outils de chiffrage, via l’application de messagerie sécurisée Telegram. Parmi les outils recommandés, on trouve ProtonMail (de Suisse), Ghostmail (suisse également) et Tutanota (d’Allemagne), qui permettront aux conversations des djihadistes de rester hors d’atteinte de la surveillance occidentale. La disponibilité internationale de ces technologies de chiffrement, sur lesquelles les membres de l’État islamique sont très renseignés, vient alimenter le débat qui a lieu ces jours-ci sur l’accessibilité ou non de certaines autorités à des données protégées dans des cas extrêmes. 1123 Source : Telegram De nombreux pays sont en lutte contre l’EI. ↓ resistisis