La Namibie regorge de paysages magnifiques. C’est là que PNL a tourné le clip de « La vie est belle », témoignant d’un panorama paradisiaque. Girafes, zèbres, hyènes et éléphants peuplent ces terres, mais c’est aussi le cas des chevaux sauvages du Namib. Une race équine fascinante dont la présence dans la région aride du Garub, au sud du pays, soulève de nombreuses questions. Une théorie veut que les chevaux du Namib seraient arrivés par l’intermédiaire d’un bateau échoué sur les côtes à l’ouest du pays. Un autre, plus plausible, prétend que ces chevaux seraient les descendants des montures des Schutztruppe, les troupes coloniales allemandes. Les animaux se seraient échappés peu après la Grande Guerre. Le mystère reste entier car aucune preuve factuelle ne permet d’affirmer ou d’infirmer telle ou telle théorie. Ce sont à tout le moins des survivants, car les chevaux ont dû s’habituer aux difficiles conditions désertiques du pays d’Afrique australe : sécheresse, chaleur et végétation rarissime. Les chevaux sauvages ont tout d’abord fait face à une modification morphologique : les plus grands ne dépassent pas 1,50 mètre. Ainsi qu’à un changement de type d’alimentation : ils se nourrissent des quelques herbes qui poussent dans le désert, ou bien de leurs propres excréments, et peuvent se passer d’eau pendant plusieurs jours. On compterait entre 90 et 150 individus. Source : www.info-namibia.com