Dans la nuit du samedi 14 novembre, la police de New York a mis fin à un grand Fight Club qui rassemblait plus de 200 personnes dans un entrepôt pour un événement baptisé « Rumble in the Bronx » (en référence au Rumble in the Jungle de Mohamed Ali et George Foreman). Selon le NYPD, cet événement faisait partie d’un club de combats illégaux, rapporte NBC New York le 15 décembre.

Suite à l’évacuation des lieux, dix personnes suspectées d’être les organisateurs de l’événement ont été accusés de combats illégaux, de possession illégale d’armes à feu chargées et d’absence de licence de débit de boissons… Le cerveau de l’opération, Michael Roman, a été rapidement identifié et placé en détention.

Crédits : Bureau du shérif de New York

Les participants ont été « découverts en train de boire, de fumer de la weed et de se battre, et ce sans distanciation sociale » à l’intérieur d’un entrepôt du Bronx. Les policiers sont entrés dans les lieux vers 23 h 15 samedi soir et ont trouvé une foule massive « qui assistait et participait à des combats amateurs ».

D’après eux, ce raid n’était qu’une des nombreuses opérations destinées à réprimer des rassemblements de taille similaire, qui ont pourtant été mis hors-la-loi pour tenter d’atténuer la propagation de Covid-19. Deux autres raids ont également permis de démanteler des rassemblements illégaux de plus de 200 personnes à Brooklyn et Chelsea ces dernières semaines.

Source : NBC New York